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  • Africa Opened My Heart

    Découvrez comment Julie et Guillaume se sont rencontrés et comment ils ont travaillé ensemble pour faire de Bio-Benin une réalité.

    *Livre disponible uniquement en anglais.

    Site web d’auteure de Julie

    CLICKEZ ICI

    Témoignages

    ​“Julie, je viens de terminer votre livre remarquable. À maintes reprises, je me suis demandé ce que Julie pouvait bien attendre de moi, elle qui a surmonté cent obstacles au cours de sa précieuse vie, tout en enrichissant celle de centaines — oserais-je dire de milliers — d’hommes et de femmes africains. Dites-moi que vous avez soumis votre manuscrit au QWF pour le prix Mavis Gallant du meilleur essai, qui sera remis en novembre ! Votre livre est passionnant, brillamment documenté, impeccablement rythmé, et j’avais soif de revoir le beau visage et les bras musclés de Guillaume, tandis que vous dévoiliez vos blessures, vos triomphes, vos cicatrices — notamment celles laissées par une mère critique et peu aimante — dans votre quête d’une conscience supérieure, autrement dit, d’amour. J’ai hâte de vous rencontrer. Avez-vous épuisé les éditeurs traditionnels ? Au début, j’ai été surprise par la franchise avec laquelle vous parliez de tant de personnes, y compris votre belle-fille. Mais à mesure que je progressais dans ma lecture, j’ai compris que cette honnêteté vous avait en réalité ouvert les portes du royaume : en ne fuyant pas la vérité, en exposant nos défauts les plus sombres, vous faites ressortir la beauté authentique de ceux que vous avez tant désiré connaître et aimer. Ce livre est un véritable triomphe — tout comme vous. Je suis admirative de ce que vous avez accompli, et j’espère que vos enfants verront à quel point votre étoile brille. Ce fut un honneur de lire votre ouvrage. ”

    Susan Doherty

    ​“Chère Julie, Je vous écris pour vous dire à quel point j’ai pris plaisir à lire Africa Opened My Heart: A Memoir. Dans le bulletin de la cathédrale de la semaine dernière figurait une photo de la couverture accompagnée d’une invitation à le lire. J’ai téléchargé un extrait, j’ai commencé… et évidemment, j’ai dû finir, alors j’ai téléchargé le reste du livre. J’ai été si captivée que je l’ai terminé en un jour et demi ! Vous avez su capturer les sons, les odeurs et les couleurs de l’Afrique, ainsi que la richesse de ses cultures, avec un talent magnifique. Bien que le Bénin m’ait été inconnu, j’ai retrouvé dans votre écriture mes propres expériences en Ouganda et en Afrique du Sud. J’ai adoré la façon dont vous avez entremêlé votre amour de l’Afrique à votre parcours personnel. Mille mercis d’avoir écrit ce livre — ce fut un vrai régal de lecture !”

    Terry McEachern

    ​“Avec un langage clair, expressif et une prose captivante, Julie Dreyer Wang raconte le parcours de toute une vie — une évolution, une maturation — passant de l’orgueil et des préjugés à la vérité et à la réconciliation. Elle tisse un récit fascinant, difficile à abandonner, qui retrace son voyage à travers le temps et différents lieux, pour culminer dans une expérience africaine profondément transformatrice. Cette expérience la pousse à affronter les questions universelles : “Qui suis-je ?”, “Pourquoi suis-je ici ?”, “Quelle est ma mission ?”. Son cheminement vers ces réponses, et la redéfinition d’elle-même qu’il implique, offre des réflexions dont nous pouvons tous tirer des leçons. Chaque court chapitre, accessible et rythmé, s’ouvre sur une citation judicieusement choisie d’un grand philosophe ou écrivain, qui en éclaire parfaitement le contenu. Une lecture captivante, vraiment digne du temps qu’on y consacre.”

    Mari-Patricia Boughner

    Compte rendu du livre Africa Opened My Heart écrit par une volontaire du Peace Corps, Karan Chaiffrix, qui a rencontré l’autrice au Sénégal alors qu’elles servaient toutes deux en Afrique.

    Dans Africa Opened My Heart, Julie Wang entraîne le lecteur au cœur de l’Afrique, dans un voyage profondément humain, à travers son expérience de volontaire du Peace Corps. Mais, contrairement à la plupart d’entre nous qui nous engageons dans cette mission de deux ans, elle est tombée amoureuse d’un habitant du pays et a choisi de s’enraciner sur le continent. Elle y a fondé une famille, bâti une maison et créé une fondation florissante qui continue de transformer des vies. Aujourd’hui septuagénaire, blanche, aisée et courageuse, Julie Wang incarne la ténacité et l’amour inconditionnel.

    Le récit de Wang est tissé d’introspection et de confessions sincères. Elle nous explique pourquoi elle est venue, et pourquoi elle est restée, tout en éclairant la noirceur du fossé entre Noirs et Blancs, avec ses contradictions et ses injustices profondes. Elle met en lumière la différence palpable entre la froideur de la vie aux États-Unis — où l’individualisme domine — et la chaleur des pauvres d’autres pays, pour qui partager, c’est vivre. Les Américains, dans l’ensemble, semblent avoir peu de tolérance envers ceux qui sont dans le besoin. Nous poursuivons nos vies, insouciants des vagues d’injustice qui frappent le monde plus démuni (sans parler de ceux qui luttent parmi nous). Au mieux, nous nous sentons impuissants face à des problèmes qui paraissent insurmontables. Beaucoup d’anciens volontaires du Peace Corps vivent ainsi avec un cœur lourd — conscients, mais incapables, au fond, de corriger ce déséquilibre.

    J’ai rencontré Julie Wang à Dakar, au Sénégal, en 2012, alors que je servais, à 56 ans, comme volontaire en agroforesterie. Elle avait une dizaine d’années de plus que moi et travaillait au développement des entreprises au Bénin, à plus de 1 600 kilomètres de là. Nous nous sommes croisées au siège du Peace Corps à Dakar, où nous avions toutes deux été envoyées dans leur infirmerie bien équipée. Un soir de cette semaine-là, nous avons déniché un bon restaurant de sushi, guidées par un jeune Sénégalais aimable, que nous avons suivi comme des canetons derrière leur mère — avant de devoir, assez maladroitement, le remercier à la porte. Chaque jour, les volontaires du Peace Corps affrontent le dilemme de combien partager. Nous avons tant. Ils ont si peu.

    Quelques années après mon retour aux États-Unis, j’ai commencé à recevoir des bulletins décrivant les progrès de BioBenin, la fondation que Julie avait créée pour soutenir la croissance d’une entreprise locale. Quelle surprise ! Cette femme n’était pas une volontaire ordinaire. La plupart plongent dans leur mission, vivent deux années intenses marquées par le désarroi et l’inconfort, puis rentrent aux États-Unis pour entamer leur carrière et fonder une famille. Les volontaires plus âgés, eux, écrivent souvent une histoire différente.

    Africa Opened My Heart est une lecture exceptionnelle à bien des égards. Bien écrit, fluide, c’est un appel au monde à repenser la manière dont nous nous traitons les uns les autres. Les réflexions de Wang nous invitent à la gratitude, au partage, à prendre du recul par rapport à nos vies privilégiées et à réévaluer ce qui compte vraiment. Observatrice, introspective et lucide — comme on le devient souvent à l’étranger — elle admet, avec une honnêteté rafraîchissante, ses propres penchants au confort et à la commodité. Elle s’interroge sans cesse sur jusqu’où aider : combien prêter, offrir ou acheter pour ses amis béninois.

    Bien sûr, une grande partie de ce qu’elle a accompli au Bénin, elle l’a fait par amour. Plus précisément, par amour pour un homme béninois — fort, séduisant, intelligent, capable (et, il faut le dire, bien plus jeune qu’elle). Guillaume tenait un petit restaurant fréquenté par des ONG régionales et des volontaires du Peace Corps. Elle a eu le coup de foudre dès la première bouchée. Guillaume avait affiné son talent de chef grâce à des stages auprès d’étrangers — français, marocains, entre autres. Intelligent, ingénieux et travailleur, il avait tout pour réussir. Elle pouvait l’aider. Et plus de dix ans plus tard, elle continue de le faire.

    En amour, Julie Wang a trouvé un pont entre deux mondes. Le livre raconte comment elle y est parvenue — et pourquoi.

    Africa Opened My Heart est, en effet, une histoire de cœur. Le sien. Et ceux des nombreuses personnes que son parcours a croisées. C’est une véritable déclaration d’amour au Bénin.

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      Directeur Executif: Guillaume Lonhoudjo
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